Vendredi 14 Mars au dimanche 16 Mars 2014
Destino !
On se lève de
bonne heure et de bonne humeur pour regonfler le pneu pour amener La Turtle
jusqu’à une Llanteria (réparateur de pneus), ça tombe bien il y en a un à 2
mns.
Juste qu’il est
parti faire une course à Ciudad de Constitucion et qu’il revient vers 15h.
On décide donc
d’aller en chercher une à Ciudad de Constitucion étant donné que c’est notre
route. Au bout d’u une heure, on trouve une Llanteria et Ramon.
Personnage qui
fait le pourquoi des voyages, gentil disponible ouvert, un petit patch et ça
repart direction Bahia de conception pour les plages de Mulége.
Après une heure de
route et avoir dépassé Ciudad Insurgentes (et une déviation locale), une belle
surprise, une explosion, encore un pneu qui éclate à l’arrière.
Mais cette fois en
prime une petite partie du pot d’échappement a été arraché, on le retrouve
bloqué dans le châssis.
Destino !!
On arrive à faire
demi-tour (pas facile) pour retourner à Ciudad Insurgentes, une puis deux
Llanterias et pas de pneus aux bonnes dimensions, il faut retourner vers Ciudad Constitucion !!!
Destino !
Ramon, il fallait
qu’on retourne le voir, car lui il a notre pneu (ok pas neuf neuf) et même
qu’il en a deux.
Après toute ces
Llanterias, nous repartons enfin vers le nord.
Destino !
Avant d’arriver à
Loreto, un accident nous fait prendre la décision de faire demi-tour pour
s’arrêter sur une plage Juncalito.
Un régal, on s’installe
au milieu des palmiers bercé par le bruit des vagues.
De drôles de Dattes
On découvre les
lieux en vélos et à pieds (manaO marche de mieux en mieux tout seul).
Des hauteurs, on
aperçoit une belle plage aux eaux turquoise à découvrir le lendemain.
Le soir c’est feu
de bois pour de bonnes bananes (schuttttt).
Le dimanche (Bon
anniversaire Fred Liparskoff ), on part en vélo découvrir la plage sous un vent
de fou.
Dès le départ,
manaO voit une peau de serpent sur le bord.
On freine, on fait
demi-tour, la peau s’avère être un véritable serpent à sonnette !
On retourne s’équiper
de l’aspi-venin pour poursuivre la balade.
Le vent souffle
vraiment fort, le vélo se termine à pied, la belle plage s’avère être qu’une
mangrove sans plage de sable fin.
On s’en va donc
découvrir Puerto escondido à travers les collines, en route elO aperçoit un
oiseau prisonnier par des épineux.
On le libère, il
nous remercie par des petits coups de becs.
Puerto escondido
est une marina, sans trop d’intérêt.
Finalement
aujourd’hui sera à mettre sur le thème des animaux.
Après une bonne
sieste, c’est El tiempo social avec un groupe de collègues qui s’arrête prendre
un café (feu de bois et bières), on échange en cette fin de journée.
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